Auffay : Météo
Même si la qualité est plus que médiocre :
Vidéo de l'orage de ce matin à Auffay
Auffay : Météo
Même si la qualité est plus que médiocre :
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Fait de Société : défense des auto-entrepreneurs
Communiqué de presse :
Défense des Auto-Entrepreneurs avec #AENoLimit
MOBILISATION !!! MO BI LI SA TION !!
Vous ne voulez pas de la reforme PINEL ?? NOUS NON PLUS !!! Personne n'en veut ! Ni même les organisations du bâtiment !!
LE 18 JUIN, L’OPÉRATION POLE EMPLOI EST LE MOMENT DE MONTRER QUI NOUS SOMMES ! Unis ! Déterminés ! Décidés ! Mobilisés !
C'est un vrai test !!! Il sera une étape clé pour démontrer notre faculté à passer du VIRTUEL au REEL !!
Le rendez-vous médiatique à Paris, 3 rue des Nanette, dans le 11ème, doit être une RÉUSSITE car ce sera LA vitrine de la journée !!! Nous devons mobiliser au moins 2000 personnes !! OUI 2000 PERSONNES !
Venez comme vous êtes, comme dirait l'autre, mais VENEZ ET TRÈS NOMBREUX ! Préférez le jaune et prenez des post-its.
Voulez-vous VRAIMENT DIRE NON AU GOUVERNEMENT ? Alors PARTAGEZ et PARLEZ DE CE RENDEZ-VOUS !
MARDI, TOUS UNIS ! La survie de nos auto-boulots en dépend !
Si cette mobilisation est un échec nous donnerons raison à Sylvia Pinel !!!! C'EST VOUS QUI DÉCIDEZ !!!
A MARDI ! Le régime compte sur vous !
AUTO-ENTREPRENEURS > AUTO DÉFENDEZ VOUS !
Presse écrite : spécial Charlie Hebdo
La mal-bouffe chez Charlie
L'article suivant est tiré de Charlie Hebdo à propos de son dernier numéro spécial.
En 1948, Charles Trénet chantait «Qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix?». Aujourd’hui, il aurait de quoi écrire un album entier. Et ça ressemblerait moins à de la poésie qu’à une formule chimique et mathématique.
C’est ce que vous propose de découvrir ce hors-série, qui explore le monde merveilleux de la bouffe industrielle, de ses lobbies, de ses barons et de leurs magouilles financières, de ses adjuvants aux noms savants et incompréhensibles — c’est préférable —, de ses effets comiques sur notre santé et de son riant avenir qui se fout bien du nôtre. Mais, comme il faut tout de même espoir garder, il y est également question des solutions, car il y en a, pour s’affranchir du gavage aux pesticides et aux édulcorants de synthèse. Car, désormais, il ne s’agit plus de manger pour vivre, mais de rester vivant en mangeant.
La mise en scène était succulente. Quand on a commencé à parler du prétendu «scandale de la viande de cheval», au début de février 2013, on a compris qu’on avait affaire à de grands acteurs comiques. La palme au ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, déclarant sur RTL le 11 février: «Je découvre la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne.» Le Foll est l’un des très rares politiques à connaître l’univers de l’agriculture. Non seulement il est petit-fils de paysan, mais, en plus, il a en poche un BTS agricole et a enseigné l’économie dans un lycée agricole breton.
Donc, il se fout de nous. Mais pourquoi à ce point-là? Parce que l’industrie de la bouffe est en France intouchable. Elle est de loin le plus gros employeur de notre pays de chômeurs, avec 500000 emplois directs, dont la plupart ne sont pas délocalisables. La viande est au cœur du système. Et c’est pourquoi il n’était pas question d’ouvrir le vrai dossier, celui d’une industrie devenue si folle qu’elle paraît incontrôlable.
Au début était pourtant la nourriture. Les panthéons du passé sont pleins de divinités qui la représentent. Ne parlons pas des Grecs, saoulés d’ambroisie, ni des Romains, qui offraient à leurs dieux d’interminables gueuletons. Chez les Slaves, avant que n’arrivent les curés, Zywienia, déesse de la bouffe, couchait avec Radogast, dieu de l’Hospitalité. Pas si mal. Et Kokopelli, le petit dieu des Indiens Anasazi, cachait dans sa bosse éternelle des plantes et des graines. Mais tout cela c’était avant le Grand Progrès.
La révolution industrielle n’a pas seulement inventé la machine à vapeur, l’usage du pétrole, les abattoirs de Chicago, la bagnole individuelle, la chimie de synthèse et le téléphone portable. Elle a pulvérisé les anciennes manières de se nourrir. Ce que vous allez lire dans ce hors-série de Charlie n’est qu’une évocation dont vous ne sortirez peut-être pas tout à fait indemne. C’est en tout cas tout le mal qu’on vous souhaite. Car l’apparition des transnationales de la bouffe a changé en simple marchandise ce qui était jadis cadeau des cieux et travail des hommes. Désormais, il faut cracher du flouze. On a vu comment Findus, qu’on croyait un gentil cuisinier, appartenait en réalité à un fonds de pension, exigeant une rentabilité financière d’au moins 8% l’an. La bouffe est une industrie, mondialisée, financiarisée, aussi sympathique que les hedge funds et les subprimes qui ont précipité la crise de 2008. Faut-il ajouter que cette industrie se contrefout des questions de santé publique, qui ne sont évidemment pas son problème? Elle surajoute, par exemple, du sel dans tous les plats qu’elle nous fourgue, car cela augmente leur poids, multipliant le profit. Bilan? 25000 morts par an en France, comme le clame dans le désert le chercheur Pierre Meneton.
Cargill, Monsanto, Nestlé, Danone font la loi parce qu’ils pèsent davantage que la plupart des États de la planète. Et les gendarmes du monde, comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS), regardent ailleurs, quand ils ne sont pas manipulés ou infiltrés par les grands lobbies industriels.
L’histoire que raconte Charlie est sinistre, mais elle fera rire, car il ne nous reste plus que cela, en attendant mieux. Sauf révolte massive de la société, pour l’heure improbable, la machine continuera sa route. Pendant que nous montrons notre impuissance à seulement contrôler le sucre, le sel, le gras, les pesticides, les colorants, les conservateurs, les ingénieurs de l’industrie avancent. Leurs labos nous concoctent de la viande sans animal, ou de la bidoche clonée, ou encore des nanoaliments — taille: un milliardième de mètre — capables de traverser tous les tissus vivants, cellules comprises. Où sont les études sur leur toxicité ? Nulle part. Elles n’existent pas. Elles viendront peut-être, mais quand il sera trop tard.
Y a-t-il une autre voie? Plus d’une, en réalité. Le mouvement Slow Food, l’agriculture bio, l’alimentation des Karens de Thaïlande, le végétarisme montrent que nous ne sommes pas condamnés à subir la loi des marchands. Mais pour échapper à la bouffe industrielle, il faudrait commencer par accepter de payer le prix réel des aliments. La plupart d’entre nous préfèrent acheter un téléphone portable que de s’acheter du vrai pain et de vrais fruits. La publicité a parfois bon dos, qui permet d’échapper à des questions bien plus dérangeantes. Pour sortir de ce système infernal, il faudrait commencer par relever la tête. Pour l’heure, nous avons la gueule enfoncée dans l’auge.
Cette fois encore, l'équipe de Charlie Hebdo s'est surpassée. Il faut dire quie le thème de la nourriture, reste un sujet sensible dans le pays de la gastronomie.
Nos amis anglais expliquent que les anglais mangent pour vivre, tandis que les français vivent pour manger.
Qui n'a jamais échangé de bonnes recettes, ou des bons plans restau avec des amis ou des connaissances ? Si en Angleterre, nous nourrissons nos conversations avec les conditions climatiques, en France, c'est la bonne bouffe !
Toutefois, les bons petits plats tendent à disparaitre : la mondialisation, la crise, la rentabilité, la nourriture standardisée,...
Si la France a gardé un bon niveau alimentaire, il a une fichue tendance à baisser avec le pouvoir d'achat en berne où les pauvres sont de plus en plus pauvres, et les classes moyennes ripent vers la pauvreté.
Ce hors série est disponible chez vos marchands de journaux. La presse - librairie Au Fai't de Catherine et Eric Picard en ont à votre disposition dans le tourniquet consacré à la presse sarcastique et satyrique. S'ils n'en ont plus, n'hésitez à commander ce magazine exceptionnel, de grande qualité, qui vous fera sourire jaune... Au Fai't est situé face à la collégiale d'Auffay. Site internet : http;//www.aufait76.com
Bon lundi à tous !
Fait de société : Handicap
30 avril, Journée Mondiale des Mobilités et de l'Accessibilité
Il faut aller chercher dans les annales du parlement européen (en date du 14 février 2001) pour retrouver les textes fondateurs de cette journée mondiale et, tout particulièrement, la définition de la situation de handicap nécessitant un aménagement de l'accessibilité.
"[...] les personnes ayant des difficultés pour se déplacer, comme les personnes handicapées [...], personnes handicapées des membres, personnes de petite taille,..."
La journée mondiale proprement dite a été lancée en 2011 et est programmée chaque année le 30 avril.
Peut être penserez vous que vous vous en fichez, toutefois, sachez que le handicap peut atteindre tout le monde. Il suffit d’un accident, d’une maladie, et votre vie bascule. Et là, vous apprécierez que les valides ne se garent pas sur les places de parking handicapé, ou que le service technique de votre commune pense à refaire le marquage au sol qui s’efface…
Autant de petites choses qui vous pourrissent la vie quand vous avez du mal à vous déplacer. Une journée pour la mobilité et l’accessibilité, ce n’est vraiment pas grand-chose, mais c’est mieux que rien.
Fait de société : Journée Mondiale des adjointes administratives et secrétaires
Bonne fêtes les filles (parce que vous êtes majoritaires), sans vous les patrons seraient totalement perdus.
Depuis quelques années, on parle de plus en plus de la Journée des Secrétaires. Une journée qui offre à tous les patrons mais également aux membres du personnel des sociétés, l’occasion de remercier leur secrétaire ! On pourrait croire que cette "fête" est une création récente mais en réalité la première édition a eu lieu il y a 62 ans aux Etats-Unis et il y a 22 ans en France !
La fête des secrétaires est née en 1951 pour pallier la pénurie en personnel de bureau qualifié... La secrétaire est souvent celle que l’on engueule, elle mérite bien une fois par an qu’on leur souhaite leur fête et non qu’on leur fasse la fête.
Il n’y a rien de plus ingrat que ce travail, faire preuve de diplomatie tout le temps, être sans cesse efficace même quand on a des soucis, pas en forme.
Alors courage les filles, je vous admire, et bonne fête à toutes ! Moi aussi, j’ai fait ce job, je sais tout ce que vous endurez.